Métamorphoses, tome 1 : Exorde d'Ericka Duflo (2016) SP

Publié le par Marion L.

Métamorphoses, tome 1 : Exorde d'Ericka Duflo (2016) SP

Livre lu dans le cadre du #ChallengeNetGalleyFR

     Senna a changé de comportement depuis la mort de sa mère. De fille sage et studieuse, elle est devenue rebelle. Perdue, elle subit une boursouflure dans le dos qui lui fait mal.

     Excédé et dépassé par son comportement, son père décide de l'envoyer dans un internat en Alaska. D'abord contre, Senna accepte l'idée. Mais la marque dans son dos grandit et à peine arrivée elle est intriguée par Ian, un jeune homme entouré de jeunes femmes séduites.

Durant son séjour, Senna en apprendra plus sur son héritage familial et la marque dans son dos.

     Un premier tome pas trop mal, malgré quelques maladresses de syntaxe. Et peut-être est-ce dû au fait d'enchaîner des livres, mais je me suis ennuyée au début du livre. Il démarre vraiment une fois qu'elle se retrouve en Alaska dans la nouvelle école. Où je m'attendais à ce que tous les élèves soient des créatures déjà vues comme des loups-garous ou vampires (complètement de mon fait, j'ai confondu avec le résumé d'un autre livre, temps de lune.)

     Quelle agréable surprise alors de découvrir un autre univers, un peu plus tourné mythologie grecque, mais pas seulement.

Comme Senna nous sommes impatients d'en savoir plus sur son identité, les choses qu'on lui cache et les secrets de ce monde.

     J'ai bugué sur l'utilisation du mot "cellulaire" en lieu et place, systématiquement, de téléphone ou de portable. Signe que je ne devais pas être dans l'histoire depuis le début.

     Et puis elle rencontre Ian. Ce qui pousse l'histoire dans une autre dimension.

     Un premier tome qui me laisse mitigée. Il a été dévoré, mais il ne m'a pas complètement convaincue. Or maintenant que j'ai commencé son histoire, j'ai vraiment très envie de connaître la suite. Et me laisserai bien tenter par un tome 2. Car pas si mal au final, de bonnes idées qui me donnent envie d'approfondir son univers.

Son atout ? Le mystère demeure. Elle nous surprend, propose autre chose.

Marion (Source de l'image : les éditions Kennes)

Commenter cet article