Gone, tome 4 : l'épidémie de Michael Grant (2010)
Lu et article écrit en 2014. Les choses se corsent dans la zone.
Le lire à la suite est une bonne idée, on se perd moins dans les personnages et les intrigues, surtout qu’il y a souvent deux événements majeurs dans chaque livre, accompagnés de leurs détails. Et je sais enfin faire la différence entre Brianna, Dekka et Taylor. Pourquoi je confondais ces trois personnages ? Je ne sais pas, il faut questionner mon cerveau défaillant.
L’épidémie est prévisible, mais tout ne l’est pas. Notamment ce détail ignoble qui provoquera plus de destruction et qui effraie bien plus. Le choix donné n’est pas évident : mourir en crachant littéralement ses poumons ou mourir mangé de l’intérieur ? En ai-je trop dit ?
Eh oui, l’auteur n’est pas tendre avec ses personnages et leur fait subir de terribles épreuves. N’oublions pas que les adultes ont entre 12 et 16 ans. Encore un tome qui s’achève sur un coup de maître et l’envie de lire la suite : le retour d’une certaine personne, l’apparition d’une autre, la trahison, les nombreuses morts, les actes de chacun, la séparation, les trouvailles… bref, encore de l’action à la clé et un excellent tome. Même dans les moments calmes il se passe quelque chose.
On lit sans même s’en rendre compte. J’aime ce qu’il fait de ses personnages, les idées qu’il leur donne. Ils se sortent de situations compliquées à l’aide de leur imagination. On ne peut qu’admirer celle de l’auteur.
Le compte-à-rebours est encore là et la question qu’il entraine : que va-t-il se passer. Nous n’avons qu’une seule hâte : découvrir la suite.
Marion (source image : bibliothèque départementale de la Vienne)